samedi 27 mars 2010

Week end on va dire

Petit coup de mou depuis hier
Je poste à nouveau à partir de lundi

jeudi 25 mars 2010

mercredi 24 mars 2010

Sans être vraiment matérialiste...

pour qu'une journée soit réussie, j'ai besoin d'un certain nombre d'objets :

- mon Ipod parce que sans au moins une pause musique, ça va pas
- un livre parce que sans lire du tout, ça va pas
- une cafetière parce que je suis une droguée
- un gel douche qui sent bon parce que je suis accro à l'olfactif
- un oreiller confort (pour lire avant de m'endormir)
- toucher au moins un truc doux (ça c'est un tish tout fin H&M) (sinon gratouiller une des félines c'est un effet 2 en 1 : le son du ronron est irremplaçable...)


donc en fait c'est : rock, mots, café, sent bon, confort et douceur les ingrédients d'une bonne journée.
Il faut aussi absolument : rire au moins une fois et trouver au moins un truc beau

C'est mieux avec un câlin aussi...

mardi 23 mars 2010

dimanche 21 mars 2010

samedi 20 mars 2010

jeudi 18 mars 2010

mercredi 17 mars 2010

mardi 16 mars 2010

lundi 15 mars 2010

dimanche 14 mars 2010

samedi 13 mars 2010

vendredi 12 mars 2010

Le petit snif qui va bien

Je suis une accro aux huiles essentielles.

Elles m'aident à faire passer les rhumes très très vite, à soigner ma peau, à m'endormir zen.

Par contre c'est pas toujours simple d'y avoir recours dans la journée, au travail... Je connaissais déjà des huiles essentielles en roll-on (simple ou composés) et là j'ai trouvé chez mon pharmacien des "inhalateurs" avec des synergies adaptées.
En clair : des petits sticks à respirer très fort avec dedans des associations de bienfaiteurs soit : tonus, respiratoire ou coupe faim.


C'est la marque Puressentiel qui fait cela.  Je ne connaissais pas mais si cela se trouve je viens de réinventer l'eau tiède...

Il faut d'autres trucs aussi (des bains, des rollers, des composés de massage) mais que j'utilise déjà sous d'autres marques.

Bref au final... c'est simple à utiliser, on peut faire l'andouille avec (se déguiser en morse genre)


Au final : la version respiratoire est top efficace : elle a terassé mon coup de froid de mardi avec nez bouché etc...
La version coupe faim semble assez efficace mais en même temps, enrhumée ça change bien la donne...
La version tonus, bof, sur le coup ça reveille mais 2 minutes après pas de réel changement et une vraie envie de café !


jeudi 11 mars 2010

mercredi 10 mars 2010

mardi 9 mars 2010

Lisez suedois

La trilogie de Camilla Lâckberg-Eriksson

Cette auteur de plusieurs romans noirs est née le 30 août 1974. Ses romans mettent en scène Erica Falck et dont l'intrigue se situe toujours à Fjâllbacka, port de pêche de la côte ouest en Suède. Ses ouvrages se sont tous classés parmi les meilleures ventes de ces dernières années dans son pays et le succès est aussi de mise à l'étranger.

Erica Falck, trente-cinq ans, auteur de biographies installée dans une petite ville paisible de la côte ouest suédoise, découvre le cadavre aux poignets tailladés d'une amie d'enfance, Alexandra Wijkner, nue dans une baignoire d'eau gelée. Impliquée malgré elle dans l'enquête (à moins qu'une certaine tendance naturelle à fouiller la vie des autres ne soit ici à l'œuvre), Erica se convainc très vite qu'il ne s'agit pas d'un suicide. Sur ce point - et sur beaucoup d'autres -, l'inspecteur Patrik Hedström, amoureux transi, la rejoint. A la conquête de la vérité, stimulée par un amour naissant, Erica, enquêtrice au foyer façon Desperate Housewives, plonge clans les strates d'une petite société provinciale qu'elle croyait bien connaître et découvre ses secrets, d'autant plus sombres que sera bientôt trouvé le corps d'un peintre clochard - autre mise en scène de suicide. Au-delà d'une maîtrise évidente des règles de l'enquête et de ses rebondissements, Camilla Läckberg sait à merveille croquer des personnages complexes et - tout à fait dans la ligne de créateurs comme Simenon ou Chabrol - disséquer une petite communauté dont la surface tranquille cache des eaux bien plus troubles qu'on ne le pense.

Dans les rochers proches de Fjàllbacka, le petit port touristique suédois dont il était question dans La Princesse des glaces, on découvre le cadavre d'une femme. L'affaire se complique quand apparaissent, plus profond au même endroit, deux squelettes de femmes... L'inspecteur Patrik Hedstrôm est chargé de l'enquête en cette période estivale où l'incident pourrait faire fuir les touristes et qui, canicule oblige, rend difficiles les dernières semaines de grossesse d'Erica Falck, sa compagne. Lentement, le tableau se précise : les squelettes sont certainement ceux de deux jeunes femmes disparues vingt-quatre ans plus tôt. Revient ainsi en lumière la famille Hult, dont le patriarche, Ephraïm, magnétisait les foules accompagné de ses deux petits garçons, Gabriel et Johannes, dotés de pouvoirs de guérisseurs. Depuis cette époque et un étrange suicide, la famille est divisée en deux branches qui se haïssent. Alors que Patrik assemble les morceaux du puzzle, on apprend que Jenny, une adolescente en vacances dans un camping, a disparu. La liste s'allonge...

" La dernière nasse était particulièrement lourde et il cala son pied sur le plat-bord pour la dégager sans se déséquilibrer. Lentement il la sentit céder et il espérait ne pas l'avoir esquintée. Il jeta un coup d'oeil par-dessus bord mais ce qu'il vit n'était pas le casier. C'était une main blanche qui fendit la surface agitée de l'eau et sembla montrer le ciel l'espace d'un instant. Son premier réflexe fut de lâcher la corde et de laisser cette chose disparaître dans les profondeurs... " Un pêcheur de Fjâllbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans, a de l'eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu'un l'a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille ? Alors qu'Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu'il est bouleversé d'être papa, Patrik Hedstrôm mène l'enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles, Fjâllbacka dissimule de sordides relations humaines - querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles - dont les origines peuvent remonter jusqu'aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.

Mon avis :


J'aime beaucoup (moins le 2e). Au-delà de l'intrigue policière (et Camilla n'est pas l'auteur des polars les plus palpitants non plus, hein, mais bon) c'est surtout l'aperçu d'une culture suédoise provinciale qui est passionnante. On voit se confronter une logique de respect d'autrui, de son intimité et de ses façons de faire aux tendances extrêmement conservatrice et intolérante des personnages plus âgés et attachés à un protestantisme rigide... mais ces deux types de personnages se côtoient et je suis frappé par l'impression que la culture suédois place l'hospitalité par dessus tout ce qui empêche les premiers d'ignorer les seconds....

Camilla esquisse avec talent les conséquences sur la vie des adultes, des conflits et traumas de l'enfance.

lundi 8 mars 2010

Petites joies de la semaine dernière

J'ai lu en m'esclaffant (en hurlant de rire régulièrement) ça :


J'aurais adoré être ethnologue
de Margaux Motin

















Maintenant dans le train : le matin quand on passe au dessus de la Loire (vers 7h15) le soleil se lève et c'est beau
ET
le soir quand je rentre (vers 19h12) il fait encore jour
YOUPI!!!!

Mes nouvelles chaussures sont confortables (et jolies aussi, enfin moi je trouve) :

















On m'a dit "tiens vous avez bien maigri" et c'est vrai !!! (ah quand même)

J'adore le début de mars !

dimanche 7 mars 2010

samedi 6 mars 2010

jeudi 4 mars 2010

Fin d'hiver douce ou froide ?


le classique duo jean (Comptoir des Cotonniers) et marinière (Redoute) avec des low boots Clergerie
bon
soit on espère le printemps : avec un perf sans manches Iro
soit on est lucide : une grosse maille Manoukian
notez que la Boulette prône la lucidité : en plus de sa fourrure perso, elle sieste sur SA peau de mouton Ikéa

ps : un autre détail subtil from Ikéa est caché dans l'image ... sauras-tu le retrouver ?

mercredi 3 mars 2010